Le physicien Danois Niels Bohr en 1913 dessine la structure de l'atome d'hydrogène sur la base du calcul quantique.

Atome d'hydrogène neutre.
Le noyau proton positif s'associe à la particule négative électron. L'électron gravite selon un ensemble d'orbites imbriquées les unes dans les autres en cercles concentriques.

La structure interne de l'atome résulte des équilibres propres au calcul quantique quantifiant l'énergie ou l'action efficace.

Niels Bohr suggère des sauts d'une orbite quantifiée à une autre sans transition notable. A l'opposé le physicien Erwin Schrödinger (Allemagne.1925) affirmait ces transitions continues et progressives, c'est-à-dire sans ruptures.

Une particularité cependant; l'électron circulant sur ces orbites à l'énergie quantifiée ni ne rayonne ni n'absorbe d'énergie du fait de l'équilibre de la particule sur son orbite ad hoc. Aussi l'électron n'émet aucune lumière ou d'énergie à partir des orbites atomiques quantifiées.

Chaque orbite Bohrienne est une "aire" de repos et de stabilité offerte à l'électron par ailleurs en mouvement incessant.

L'astronome Galilée (Italie.1636) structurait le système Solaire de "paliers inertiels" stables parcourue d'objets aux vitesses uniformes dessinant des trajectoires spatiales rectilignes ou en cercles concentriques.

Les Orbites atomiques.
L'orbite Bohrienne quantifiée la plus proche du noyau atomique est aussi la plus stable et la moins énergétique. Aussi l'orbite fondamentale d'un rayon orbital r de 0,529 Angström possède le niveau d'énergie électronique L1 le plus bas de l'atome. Et sur cette base résulte un ensemble d'orbites électroniques étroitement imbriquées de plus en plus périphériques, de plus en plus énergétiques et de moins en moins stables. L'ensemble des orbites Bohriennes électroniques sont calculées par le calcul quantique.

_ Oui bref, l'électron est lié au proton par un élastique plus ou moins tendu et se comporte comme une pierre de fronde en rotation cyclique plus ou moins rapide et énergétique, quoi...

Exactement Clopî; de plus l'électron oscille légèrement de part et d'autre de sa trajectoire Borhienne circulaire et aussi tourne sur lui-même en un mouvement incessant nommé le "Spin" de l'électron.

Les particules élémentaires.
La fréquence v (nu) de rotation de l'électron autour du noyau proton et l'amplitude a de battements de part et d'autre de l'orbite circulaire Borhienne se conjuguent étroitement.

Et en complément de ces deux paramètres se mesure le Spin haut (up) ou bas (down) de l'électron en rotation sur lui-même. _ Mazette ! un mouvement composé de trois éléments; ça doit être difficile à calculer.

Niels Bohrsur la base d'une rotation de rayon r et des différents niveaux d'énergie quantifiée L (le moment angulaire ou orbital d'un mouvement circulaire cyclique) sont calculés les niveaux d'énergie des orbites atomique, de la plus stable à la plus périphérique instable.

Les différentes orbites de l'atome de Bohr sont affectées d'indices particuliers, soit la série des nombres entiers; n = 1,2,3... ou la série alphabétique K, L, M, N, O, P, Q... et à chacun ses goûts et dégoûts.

→ Le mouvement angulaire p ou la quantité de mouvement q de l'électron p s'incrémente dans un sens ou dans l'autre d'une quantité quantifiée irréductible de Grandeur h/2Π.

L'équation extravagante.
L'équation cruciale p = mvr = n (h/2Π) est à la base de la quantification Bohrienne de l'atome de Bohr. [Guy Louis Gavet. La physique quantique. Edition Eyrolles.11,40€. page 45.Edition 2021].

p : la quantité de mouvement de l'électron en propagation.
m : la masse de l'électron.
v : la vitesse de rotation constante de l'électron dans l'atome.
r : le rayon de l'orbite circulaire de l'atome de Bohr.
n : la série des nombres entiers 1,2,3,4...
Π : le nombre pi, soit 2 fois 180 degrés d'arc de rotation.

Tous ces paramètres sont en lien étroit.

_ Il y manque le Spin up ou down dans tes paramètres en lien étroit, papa ! Et aussi la longueur d'onde !

La fréquence v (nu) représente le nombre de tours de l'électron dans son orbite atomique (Borhienne) par seconde. Cette fréquence correspond à la longueur d'onde λ (lambda) de l'électron libre en propagation rectiligne et uniforme dans l'espace.

La "force de rappel" exercée par le proton sur l'électron véloce et volage s'affaibli dans la périphérie de l'atome. Alors le lien atomique peut se rompre et l'électron devient "libre" et se propage... pour un temps seulement.

Atome Hydrogène

L'orbite fondamentale de l'électron n= 1 ou K est la plus proche et la plus stable de l'atome d'hydrogène pouvant accueillir l'électron.

Les orbites autorisées par le calcul quantique possèdent chacune leur niveau d'énergie spécifique L.Ce niveau d'énergie est en lien avec le rayon orbital r et la vitesse de rotation uniforme de l'électron. La vitesse de rotation défini la fréquence v (nu) du mouvement de l'électron.

L'atome de Niels Bohr se structure de multiples couches concentriques orbitales emboitées les unes dans les autres comme des poupées russes. Et seul les électrons circulant (présents) sur ces orbites quantifiées ne rayonne ni n'absorbe d'énergie. En ces lieux spécifiques ils ne brillent pas par leur présence et sont stables; plus ou moins...

Et seul le Spin électronique sera visible de l'appareil de mesure quantique.

"L'essentiel est invisible... à nos mesures...".

Les différentes orbites "quantifiées" (autorisées) de Niels Bohr.

Attention ! La mesure quantifiée ne porte pas sur les niveaux d'énergie des paliers inertiels orbitaux mais sur l'amplitude des intervalles séparant les paliers inertiels.

Dans les calculs qunatiques les quantités mesurées et modélisées sont des écarts, des différentiels, des entre-deux, des amplitudes : L1-L2 ou L2-L1; voire L3-L1... etc...

L'atome quantifié de Niels Bohr. (Danemark. 1913).

L'électron de l'atome d'hydrogène orbite autour du noyau atomique central selon des trajectoires concentriques. L'électron hors de son orbite fondamentale est dans un état "excité" plus ou moins instable.

Site PHOZAGORA.

Les différentes orbites électroniques de l'atome de Bohr quantifié s'identifie par la série des nombres entiers ou par une série de lettres.

L'atome Voici une vision très grossière (en utilisant toujours le modèle de Bohr) au moment de la formation d'une molécule d'eau, avec : Un atome d'Oxygène, constitué d'une couche " K " et d'une couche " L ". La couche " K " intègre une sous-couche " 1s ", constituée d'une orbitale unique, sur laquelle gravitent 2 électrons de spin opposés. http://phozagora.free.fr

Site : http://phozagora.free.fr/?page=zoom_atome

L'orbite notée K ou n=1 désigne le palier orbital inertiel fondamental; l'orbite la plus stable offerte à l'électron voyageur. Aussi chaque orbite possède son niveau propre d'énergie.

Un électron n'émettra de l'énergie électromagnétique que lors de ses changements d'orbite, de la plus éloignée vers la plus proche du noyau.

Un électron voyageant constamment sur son orbite n'émet ou n'absorbe aucune énergie.
Un électron s'éloignant du noyau central et de son orbite la plus stable absorbe de l'énergie.

L'ère des Atomes.

380 000 ans après l'ère de Planck : âge de l'univers.
3000 Kelvins : température intérieure du cosmos.

Les particules négatives électrons attirées par les séduisants noyaux atomiques positifs s'unissent pour former les premiers atomes neutre d'hydrogène et d'hélium et en moindre proportion les atomes de béryllium et de tritium.

L'atome d'hydrogène, l'atome le plus simple et le plus fréquemment rencontré dans l'univers se compose d'un unique électron périphérique en rotation autour du noyau central lourd et fixe.

Les "atomes" globalement neutre "baignent" dans un océan d'énergie électro-magnétique combinant deux champs de forces conjugués en symétrie-inverse.

Champ profond de Galaxies jeune.

LUCY d'Enfer. Le 15 Novembre 2015. L'atome de Bohr n'est pas un fromage...

L'Atome de Niels Bohr.

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